mardi 23 juillet 2013

Beaucoup de bruit pour un cadavre - Victoria CLAYTON

Pourquoi je le lis :


Le dernier roman que j'ai lu de Victoria Clayton, L'amie de Daisy, m'avait beaucoup déçu à cause de son happy end qui arrivait comme un cheveu sur la soupe. Cependant après quelques semaines ma mauvaise impression s'estompe et j'ai à nouveau envie de me plonger dans l'univers fantasque de Victoria Clayton.

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En résumé (quatrième de couverture) :


Etre ou ne pas être au bord de la crise de nerfs... telle est la cruelle question que se pose Harriet Byng. Il faut dire qu'entre son père, Waldo, acteur shakespearien sur le déclin, sa mère, professionnelle du lifting, et ses quatre frères et sœurs, il y a de quoi faire. Et c'est sans compter la cuisinière mystique, le jardinier fanatique de labyrinthes végétaux, le chat Marc Antoine... et l'incroyable coup de théâtre : l'arrestation de Waldo pour le meurtre de son éternel rival. Le digne comédien, un assassin ? Impossible ! Courageusement, Harriet affronte la tempête, bien décidée à faire triompher la vérité. Et, qui sait, trouver sur son chemin un Roméo...

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Mon avis :


Je suis contente d'avoir persisté avec les romans de Victoria Clayton car Beaucoup de bruit pour un cadavre m'a beaucoup plu.

Le titre est une référence à Beaucoup de bruit pour rien de Shakespeare qui est discrètement présent tout au long du roman. Quant au cadavre mentionné, ce n'est pas le point de départ d'une enquête haletante, mais l'élément perturbateur qui va tout chambouler dans l'existence de l'héroïne et la pousser à aller de l'avant.

Autre référence : on retrouve Freddie de La chaleur des moissons et on découvre ce qu'elle devient. J'aime beaucoup ce genre de clins d’œil entre les différents livres d'un même auteur.

J'ai aimé les personnages gentiment loufoques et des situations encore plus farfelues qui m'ont complètement happée dans cette Angleterre un peu désuète des années 70.

Un seul regret : malgré ses 525 pages, Beaucoup de bruit pour un cadavre m'a paru trop court. J'aurais aimé rester plus longtemps dans cet univers agréablement fantasque...

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