vendredi 14 juillet 2017

L'amour est dans le foin - Angéla MORELLI

Pourquoi je le lis :


Je viens de lire L'homme idéal (en mieux), ce qui m'a donné envie de relire L'amour est dans le foin qui lui fait plus ou moins suite, puisque l'héroïne de celui-ci est la meilleure amie de l'héroïne du précédent...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Mais qu’est-ce qui lui a pris d’accepter ce plan foireux ? Et pire encore : pourquoi a-t-elle fait ce stupide pari avec ses copines ? Résultat, voilà que Louise est :

1) bloquée au fin fond de la campagne (celle avec de la vraie boue et des vraies bêtes) dans la maison d’une-amie-d’une-amie pour un long, un interminable mois de « vacances »

2) condamnée à une abstinence forcée (fichu, fichu pari ! et fichues copines !)

Pour une parisienne pure souche qui ne vit que pour son travail et ne connaît pas le sens du mot « repos », ce séjour s’annonce plutôt douloureux. Jusqu’à ce que deux spécimens locaux viennent troubler ses bonnes résolutions vertueuses. D’un côté, Joffrey, bel apiculteur au sourire canaille. De l’autre, Arnaud, artisan en charge des travaux de la grange, dont les manières rustres et la bougonnerie n’ont d’égal que le pouvoir ensorcelant de ses muscles. Et elle qui pensait se trouver à mille lieues de toute tentation... 

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Mon avis :


Je crois que j'ai davantage apprécié L'amour est dans le foin que lors de la première lecture...

Déjà, je ne me suis pas laissée agacer par les notes de bas de page qui se référaient sans cesse au précédent roman de l'auteur sans qu'il ne soit indiqué nulle part que L'amour est dans le foin est une "suite de L'homme idéal (en mieux).

D'ailleurs, ma préférence va à L'homme idéal (en mieux) : j'ai trouvé que cette fois les personnages et les situations sont un peu plus caricaturales et qu'il est plus difficile de s'identifier à  l'héroïne, Louise, si parfaite physiquement mais finalement plus fragile qu'elle ne le laisse paraître.

L'intrigue amoureuse reste très classique, quoique étonnement chaste et romantique vu les obsessions de Louise. A noter un gros clin d’œil au Journal de Bridget Jones à travers les deux personnages masculins (je n'irai pas jusqu'à comparer cette romance à Orgueil et préjugés) : l'un est avenant et séducteur, mais finalement peu fiable ; l'autre semble froid et dédaigneux au premier abord, mais se révèle droit et attentionné.

L'amour est dans le foin est donc une romance agréable, toute en légèreté...

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